Trop d’émotion, et le lecteur se sent manipulé. Pas assez, et il s’ennuie. L’émotion n’est pas un effet spécial. C’est une fréquence à capter juste. Si votre paragraphe émeut… vous-même, c’est bon signe. Sinon, il faut réajuster. Bien calibrée, l’émotion crée une tension douce : assez pour accrocher, pas trop pour agacer.
Action : Relisez votre texte à voix haute. Si ça sonne faux ou forcé, coupez. Resserrez. Respirez.
Prompt conseillé : « Reformule ce paragraphe avec une émotion contenue, mais palpable, sans pathos »