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Catégorie : Problèmes

Silence sous les mots

Tout semble bien formulé, mais il manque quelque chose. Un creux. Un non-dit. Un vide entre les phrases. Ce que vous n’écrivez pas est parfois plus important que ce que vous écrivez. Un bon paragraphe de problèmes fait entendre un silence lourd de sens.

Action : Ajoutez une phrase courte qui dit ce que d’habitude on n’écrit pas, mais que tout le monde pense.

Prompt conseillé : « Ajoute une phrase qui nomme un non-dit que le client ressent mais ne verbalise jamais »

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L’algorithme ne souffre pas

L’IA peut reformuler, organiser, classer. Mais elle ne peut pas ressentir. Un paragraphe écrit uniquement par une IA manque d’instinct. Il est logique, mais vide. Elle peut imiter la douleur, mais jamais la vivre. C’est à vous d’ajouter la chair. Sinon, vos problèmes ressembleront à un article Wikipédia sur l’ennui.

Action : Relisez votre paragraphe et ajoutez une note personnelle à chaque problème : une réaction humaine, une faille.

Prompt conseillé : « Injecte une touche d’émotion ou d’humanité dans chacun de ces problèmes trop mécaniques »

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Des mots sans monde

On peut dire “vous vous sentez dépassé”… mais sans contexte, ça flotte. Un mot sans décor est un mot vide. Le lecteur veut se voir dans une scène, pas dans un concept. Décrire un problème, c’est l’ancrer dans un monde reconnaissable : le sien. Un monde sans mots ne se lit pas. Un mot sans monde ne se ressent pas.

Action : Ajoutez un décor, une situation ou un moment précis autour de chaque problème.

Prompt conseillé : « Ajoute un contexte visuel ou une situation concrète à chacun de ces problèmes »

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Ce qu’il lit vraiment

Il lit vite. Il lit entre les lignes. Il lit surtout ce que vous ne dites pas. Il cherche un reflet, pas un résumé. Il cherche à se dire : “Ah, enfin quelqu’un qui a compris.” Si votre paragraphe de problèmes parle comme un dossier de consulting, il s’en va. Ce qu’il lit vraiment, c’est : “Est-ce que tu sais ce que je vis quand personne ne regarde ?”

Action : Demandez à un client fidèle ce qu’il a ressenti en lisant votre page. Écoutez. Réécrivez.

Prompt conseillé : « Reformule ce paragraphe comme si tu parlais à un ami qui n’a plus de filtres »

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L’IA connaît votre douleur

Elle peut la repérer, la nommer, la classer — mais seulement si vous lui donnez les bons indices. L’IA n’invente pas un problème crédible : elle amplifie ce que vous lui donnez. Utilisez-la pour scanner les témoignages, les forums, les discussions — pas pour broder. Les bons problèmes ne viennent pas de votre tête, mais du terrain.

Action : Donnez à l’IA 10 commentaires clients et demandez-lui de résumer les douleurs récurrentes.

Prompt conseillé : « Analyse ces 10 avis et liste les 3 problèmes les plus souvent exprimés, avec leurs formulations exactes »

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L’émotion mal calibrée

Trop d’émotion, et le lecteur se sent manipulé. Pas assez, et il s’ennuie. L’émotion n’est pas un effet spécial. C’est une fréquence à capter juste. Si votre paragraphe émeut… vous-même, c’est bon signe. Sinon, il faut réajuster. Bien calibrée, l’émotion crée une tension douce : assez pour accrocher, pas trop pour agacer.

Action : Relisez votre texte à voix haute. Si ça sonne faux ou forcé, coupez. Resserrez. Respirez.

Prompt conseillé : « Reformule ce paragraphe avec une émotion contenue, mais palpable, sans pathos »

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Pas assez de chair

Vos problèmes sont clairs. Ils sont compréhensibles. Mais ils sont maigres. Pas de corps. Pas de matière. Pas de vécu autour. Le lecteur doit sentir que ce que vous décrivez, il pourrait le vivre dans une scène précise. Ajoutez de la chair. Rendez vos problèmes incarnés, presque palpables.

Action : Pour chaque problème, ajoutez un détail sensoriel ou comportemental concret.

Prompt conseillé : « Ajoute un détail visible ou tangible à chaque problème pour le rendre plus vivant »

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On lit, mais on fuit

Votre paragraphe est lu. Mais il crée du malaise, ou pire : de l’indifférence. Parce qu’il manque de chaleur. Ou parce qu’il met trop la pression. Le lecteur fuit quand il ne sent ni empathie, ni nuance, ni espace. Un bon problème ne pousse pas. Il accueille. Il met à nu sans juger.

Action : Ajoutez une phrase qui montre que vous comprenez sans accuser.

Prompt conseillé : « Reformule ce paragraphe pour qu’il soit plus empathique, moins accusateur »

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Le vrai manque, oublié

Vous parlez des obstacles, des irritations, des frustrations… mais avez-vous nommé le manque ? Le manque, c’est le vide que le client ressent tous les jours, sans toujours le formuler. Pas un manque de temps ou d’argent. Le vrai manque. Celui qui laisse un goût de “pas assez”. Si vous l’oubliez, vous ratez l’élan le plus profond du lecteur.

Action : Reformulez un problème en y intégrant ce que le client n’a plus (ou pas encore) dans sa vie.

Prompt conseillé : « Reformule ce problème en mettant en lumière le manque invisible mais pesant que ressent le lecteur »

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Il attend autre chose

Vous avez mis les bons mots. Mais le lecteur, lui, attendait autre chose. Il attendait une vérité qu’on ne dit jamais. Un mot qu’on n’ose pas poser sur la table. Il veut qu’on parle de ce qu’il vit, pas de ce qu’il devrait vivre. Le bon paragraphe de problèmes ne répond pas aux attentes. Il les dépasse.

Action : Ajoutez un problème que vous n’avez jamais osé écrire, mais que vos clients vivent tous.

Prompt conseillé : « Quel problème profond, mais rarement nommé, vit mon client sans jamais le dire ? »

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Il lit entre les lignes

Le lecteur n’est pas dupe. Il capte l’intention. Il devine ce que vous ne dites pas. Il cherche de l’authenticité. Pas une stratégie de contenu bien rodée. Un bon paragraphe de problèmes laisse la place à l’interprétation, sans manipuler. Si vous trichez, il le sentira. Si vous ouvrez, il avancera.

Action : Supprimez tout ce qui sonne trop “optimisé”. Remettez une part de vérité brute dans vos formulations.

Prompt conseillé : « Reformule ces problèmes pour qu’ils laissent une part d’interprétation honnête et humaine »

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Quand l’humain décroche

Il n’a pas arrêté de lire parce que c’était long. Il est parti parce que ça ne parlait pas de lui. Un bon paragraphe de problèmes doit faire hocher la tête. Pas expliquer, faire ressentir. Le lecteur décroche dès que c’est trop vague ou trop large. Un seul vrai problème précis vaut mieux que cinq généralités tièdes.

Action : Supprimez tous les problèmes vagues et remplacez-les par une situation concrète vécue par votre client type.

Prompt conseillé : « Réécris ce texte en décrivant une scène précise où ce problème apparaît dans la vie du lecteur »

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La page qui triche

Vous avez fait tout ce qu’il faut : empathie, structure, tournures… mais le lecteur ne mord pas. Parce qu’il sent que ce n’est pas “vrai”. Il sent que vous écrivez pour vendre, pas pour comprendre. La page qui triche, c’est celle qui simule la compassion. Qui nomme des problèmes… sans vraiment les connaître. Et ça se voit. Ça se sent. Ça ne pardonne pas.

Action : Montrez votre paragraphe à un vrai client. S’il vous dit “c’est pas vraiment moi”, recommencez.

Prompt conseillé : « Reformule ces problèmes pour qu’ils soient ressentis comme authentiques par une vraie personne concernée »

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Ce que vous ne dites pas

Souvent, le vrai problème est celui qu’on ose à peine écrire. On parle du symptôme — stress, surcharge, démotivation — mais on évite la blessure centrale. Or, c’est précisément là que se crée la connexion. Le paragraphe des problèmes est l’endroit où il faut être brutalement sincère, pas politiquement correct.

Action : Ajoutez à votre liste de problèmes une version “crue” de ce que votre client ressent en secret.

Prompt conseillé : « Quelle est la version non filtrée de ce problème, telle que le client la penserait mais n’oserait pas dire ? »

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Une blessure ignorée

Votre client vit quelque chose de difficile. Mais personne n’en parle jamais dans votre secteur. Et vous non plus, peut-être. Parce que c’est délicat. Tabou. Pas vendeur. Mais c’est précisément là que vous pouvez créer une vraie connexion. Nommer une blessure ignorée, c’est offrir une reconnaissance rare.

Action : Écrivez une phrase qui met en lumière un sujet rarement évoqué, mais central pour votre client.

Prompt conseillé : « Rédige un problème lié à une blessure dont personne ne parle mais que les clients vivent tous »

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Des phrases sans visage

“Manque de temps”, “manque de clarté”, “trop de tâches” — ce sont des concepts, pas des réalités. Votre lecteur veut se reconnaître dans une scène, pas dans un tableau Excel. Un paragraphe de problèmes sans visages, c’est une statistique. Et les gens n’achètent pas sur des moyennes. Ce qu’ils achètent, c’est une compréhension intime de leur quotidien.

Action : Transformez chaque problème en petite scène de 2 phrases. On doit voir, pas juste comprendre.

Prompt conseillé : « Mets chaque problème en scène comme une mini anecdote quotidienne que le lecteur pourrait vivre »

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Vous évitez le vrai

Par souci de diplomatie. Ou de confort. Vous avez adouci. Contourné. Arrondi. Mais à force d’éviter le cœur du problème, vous perdez toute connexion. Le lecteur n’a pas besoin d’un résumé poli. Il a besoin d’un miroir brutalement honnête. Osez dire ce que vous évitez. Et regardez l’impact changer.

Action : Choisissez un problème, puis écrivez-le comme si vous étiez obligé d’être brutalement franc.

Prompt conseillé : « Reformule ce problème sans euphémisme, sans détour, comme une vérité difficile à entendre »

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L’IA n’a pas pleuré

Elle peut écrire un paragraphe de problèmes. Mais il n’y aura jamais de frisson dedans. L’émotion vient de l’expérience humaine, pas de la syntaxe. Une bonne section de douleur, c’est celle qui donne un petit pincement. Pas juste une information. Si votre texte ne vous touche pas un peu vous-même, il ne touchera personne d’autre.

Action : Réécrivez un problème en partant d’un moment où vous avez ressenti cette douleur vous aussi.

Prompt conseillé : « Reformule ce problème comme si tu racontais un moment où toi-même tu l’as vécu »

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Ce n’est pas son problème

Ce que vous décrivez n’est peut-être pas ce qu’il vit. Vous avez peut-être imaginé le problème. Ou transposé le vôtre sur lui. Mais lui, il vit autre chose. Plus concret. Plus immédiat. Moins théorique. Si le lecteur ne se sent pas concerné, c’est que ce n’est pas son problème.

Action : Allez poser la question : “C’est quoi le plus gros problème que tu veux régler aujourd’hui ?”

Prompt conseillé : « Reformule ces problèmes uniquement à partir de ce que les clients disent eux-mêmes »

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Trop lisse pour toucher

Vous voulez bien écrire. C’est humain. Mais parfois, en voulant trop polir, on enlève l’âme. Un problème trop bien tourné ne fait pas mal. Il impressionne, mais il ne touche pas. Parlez mal, si c’est pour mieux dire. L’essentiel, c’est que ça cogne au bon endroit. La douleur n’est pas propre. Elle est brute. Votre paragraphe aussi doit l’être.

Action : Gardez volontairement une formulation “bancale” si elle résonne plus fort qu’une phrase parfaite.

Prompt conseillé : « Reformule ce problème comme s’il sortait de la bouche d’un client très énervé »

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Le bon mot, trop tard

Parfois, le problème est bien formulé… mais trop bas dans la page. Il faut nommer la douleur dès que possible, pendant que le lecteur est encore là. Si vous gardez “le bon mot” pour le troisième paragraphe, il sera déjà parti. Le bon mot n’est pas juste une formule. C’est un point d’entrée.

Action : Placez votre problème le plus fort dans la première ou deuxième phrase du paragraphe.

Prompt conseillé : « Quel est le mot ou la formulation qui touche le plus fort dans ce paragraphe ? Mets-le en premier. »

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Trop propre, trop loin

Quand c’est trop bien écrit, trop bien aligné, trop impeccable… c’est souvent trop éloigné. La douleur n’est pas bien maquillée. Elle est sale, confuse, brute. Un paragraphe trop propre crée une distance. Et le lecteur se dit : “Ils ne savent pas vraiment.” Un bon problème, c’est comme un carreau cassé dans une vitrine : ça accroche l’œil et ça intrigue.

Action : Rendez une phrase “moins parfaite” pour la rapprocher de la réalité brute du lecteur.

Prompt conseillé : « Rends ce paragraphe moins lisse, plus proche du langage brut du quotidien »

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Trop de forme, zéro fond

Votre paragraphe est beau. Stylé. Bien écrit. Mais creux. Parce qu’au fond, vous avez pensé à la manière avant de penser à la vérité. Ce qui touche, ce n’est pas la rhétorique. C’est la reconnaissance d’un vécu. Le lecteur ne cherche pas du style. Il cherche une preuve qu’il n’est pas seul.

Action : Reformulez vos problèmes sans chercher à “bien écrire” — dites simplement ce que les gens vivent.

Prompt conseillé : « Reformule ces problèmes sans effets de style, comme dans une discussion sincère entre amis »

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Stop aux symptômes

“Fatigue.” “Désorganisation.” “Procrastination.” Ce ne sont pas des problèmes, ce sont des symptômes. Et tant qu’on ne descend pas en dessous, le lecteur ne se sentira jamais totalement compris. Creusez jusqu’à la vraie cause. Celle qu’il n’ose pas toujours nommer, mais qu’il vit chaque jour. On ne soigne pas un mal de tête avec une pommade pour le front.

Action : Pour chaque problème de votre paragraphe, posez-vous : “Et pourquoi c’est un problème, en fait ?”

Prompt conseillé : « Pour chacun de ces problèmes, identifie la vraie cause sous-jacente que le client ressent »

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Ça manque de cicatrice

Vous décrivez la douleur, mais elle est trop “neuve”. Trop abstraite. Ce que le lecteur veut lire, c’est une trace. Une marque. Une cicatrice qu’il reconnaît comme la sienne. Une douleur qu’il a traînée, pas juste un tracas du jour. Un problème avec une cicatrice, c’est un problème qui a vécu. Et ça, ça touche.

Action : Ajoutez une référence temporelle ou une répétition (“ça fait 6 mois que…”, “chaque matin, il…”)

Prompt conseillé : « Reformule ce problème pour qu’il évoque une douleur qui dure depuis longtemps dans la vie du lecteur »

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Pourquoi ça sonne faux

Vous avez listé les bons problèmes. Mais quelque chose ne colle pas. Le lecteur ne mord pas. C’est souvent une question de ton. Ou de posture. Trop vendeur. Trop poli. Trop “au-dessus”. Un problème crédible, c’est un problème raconté sans costume. Avec de l’ombre. De l’irrégulier. Le faux, ce n’est pas l’inexact. C’est le trop bien tourné. Le trop “comme il faut”.

Action : Réécrivez un problème de manière volontairement imparfaite, comme une vraie conversation.

Prompt conseillé : « Reformule ce problème avec un ton brut, pas lisse, comme une confession »

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Mots froids, cœur chaud

“Charge mentale”, “perte de productivité”, “frustration”… Des mots valides, mais qui ne piquent pas. Le lecteur ne cherche pas un diagnostic clinique, il veut entendre sa propre voix. Un bon problème, c’est un mot qui gratte, une image qu’il vit, pas un terme professionnel. La bonne température des mots fait toute la différence.

Action : Remplacez tous les mots “froids” de votre paragraphe par des expressions qu’un ami utiliserait.

Prompt conseillé : « Réécris ce paragraphe avec des expressions familières, comme si un client les disait à un ami »

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Le cœur est hors champ

Tout est logique. Bien structuré. Argumenté. Mais froid. Parce que vous avez tout dit… sauf ce qui vient du cœur. Un paragraphe de problèmes sans cœur, c’est une photo sans lumière. Le lecteur ne cherche pas juste à comprendre — il cherche à être compris.

Action : Ajoutez une phrase qui montre que vous ressentez, pas juste que vous analysez.

Prompt conseillé : « Ajoute une phrase sincère qui montre une vraie compréhension humaine de ce problème »

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La souffrance ne vend pas

Décrire une souffrance trop crue peut provoquer le rejet, pas l’engagement. Le lecteur ne veut pas se sentir accablé. Il veut se sentir compris. Si votre paragraphe semble pesant ou misérabiliste, il détourne le regard au lieu d’avancer. Un bon problème touche sans écraser. Il ouvre, il n’étouffe pas.

Action : Reformulez un problème pour qu’il évoque une souffrance… mais avec une note d’espoir ou de dignité.

Prompt conseillé : « Reformule ce problème pour qu’il évoque une souffrance réelle mais avec retenue et justesse »

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L’erreur qui tue la vente

Vous listez les problèmes… mais ils ne sont pas les siens. Vous pensez pour lui, vous supposez à sa place, et il ne se reconnaît pas. L’erreur ? Croire que vos problèmes sont aussi les siens. Votre client ne vous lit pas. Il cherche une preuve que vous le lisez, lui.

Action : Demandez à un client : “Qu’est-ce qui t’empêchait de dormir avant d’utiliser notre solution ?”

Prompt conseillé : « Formule ce problème comme une phrase que le client pourrait dire à 2h du matin, seul dans sa tête »

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Trop intelligent pour toucher

Vous avez bien écrit. Peut-être trop bien. Le cerveau est impressionné. Mais le cœur reste froid. On ne vend pas une solution avec des jeux d’esprit. On vend avec des preuves qu’on comprend la douleur. Si votre paragraphe brille mais ne vibre pas, c’est qu’il manque de vécu.

Action : Réécrivez une phrase brillante de manière plus simple, plus proche, plus humaine.

Prompt conseillé : « Reformule ce problème de manière simple et émotionnelle, sans chercher à paraître intelligent »

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Il n’a pas dit oui

Vous avez touché un point. Mais pas le bon angle. Votre lecteur hésite. Il doute. Il ne dit pas non… mais il ne dit pas oui non plus. Souvent, c’est une nuance qui manque. Un mot qui n’est pas le sien. Une précision oubliée. Faire dire “oui, c’est moi”, ça demande de l’écoute — pas juste de l’empathie affichée.

Action : Montrez deux versions d’un problème à un lecteur cible et demandez : “Lequel te parle ?”

Prompt conseillé : « Propose deux variantes de ce problème, avec des nuances de ton et de vocabulaire »

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Vous ratez la blessure

Vous parlez du stress, du manque de temps, de la surcharge… mais vous ratez l’essentiel. La blessure, c’est ce qui reste après le problème. Ce qui fait encore mal quand on éteint l’ordi. Parler de la douleur sans viser la blessure, c’est comme effleurer un hématome sans appuyer. Si votre lecteur ne sursaute pas intérieurement, c’est que vous êtes passé à côté.

Action : Reformulez un problème de manière à faire ressentir sa trace émotionnelle ou existentielle.

Prompt conseillé : « Reformule ce problème en mettant en avant la blessure profonde qu’il provoque dans la vie du lecteur »

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Vous parlez à qui ?

Un paragraphe de problèmes mal ciblé, c’est comme une conversation téléphonique où personne ne répond. Si vous parlez à “tout le monde”, alors personne ne se sent visé. Le lecteur veut se reconnaître, pas deviner s’il est dans la bonne pièce. Nommer précisément “qui” vit ces problèmes est le premier pas vers la confiance.

Action : Réécrivez un problème en le liant à un rôle ou une situation de votre client (maman solo, freelance, manager…)

Prompt conseillé : « Reformule ce problème comme s’il était vécu spécifiquement par [persona cible] »

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Il ne se sent pas vu

Ce n’est pas que votre paragraphe est mauvais. C’est qu’il est flou. Et lui, il se sent invisible. Il cherche à lire ce qu’il n’arrive pas à dire. Pas ce qu’on dit à tout le monde. Le problème doit le toucher dans ce qu’il pense être “uniquement à lui”. Montrez-lui que vous le voyez. Et il vous écoutera.

Action : Reformulez un problème en le rendant hyper spécifique à un détail de vie de votre client cible.

Prompt conseillé : « Reformule ce problème comme si tu écrivais à une seule personne, avec son quotidien exact »

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On s’en fout un peu

Ce problème vous paraît important. À lui, pas tant que ça. Parce qu’il ne le vit pas comme vous. Parce que vous n’avez pas testé sa réaction. Un bon test ? Si vous enlevez le problème et que le client ne le remarque pas… c’est qu’il s’en fout. Ce n’est pas grave. Supprimez. Ne gardez que ce qui déclenche un “oui, c’est exactement ça”.

Action : Faites relire vos problèmes à un client ou un proche. S’il ne réagit pas spontanément, virez-les.

Prompt conseillé : « Liste uniquement les problèmes qui provoquent une réaction émotionnelle forte chez le lecteur »

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Le lecteur s’en fout

Il lit, mais il ne se sent pas visé. Parce que vous parlez du problème selon votre perspective, pas la sienne. Un problème qui ne fait pas réagir émotionnellement ne vaut rien sur une page de vente. La vérité ? Il ne cherche pas une solution. Il cherche une preuve qu’il n’est pas seul.

Action : Posez la question suivante à votre IA : “Quel est le problème que le lecteur trouve trop honteux pour en parler ?”

Prompt conseillé : « Formule un problème que le lecteur n’avoue à personne, mais qu’il ressent profondément »

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Pas de miroir, pas d’achat

Le lecteur veut se reconnaître. C’est la base. Sans ça, il passe son chemin. Ce paragraphe de problèmes n’est pas là pour informer, il est là pour refléter. Pas de miroir ? Pas de connexion. Pas d’achat. Juste un scroll de plus. Votre rôle : écrire pour qu’il dise “c’est exactement moi”.

Action : Montrez votre paragraphe à un client : s’il ne dit pas “c’est moi”, recommencez.

Prompt conseillé : « Reformule ces problèmes pour que le lecteur se reconnaisse instantanément »

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L’IA ne vous croit pas

Elle génère des problèmes, oui. Mais sont-ils vécus ? Sentis ? Répétés ? L’IA invente si on ne lui donne rien de solide. Et l’imaginaire marketing est rarement convaincant. Elle doute de vous si vous ne l’alimentez pas avec des vraies phrases, extraites du réel. Une bonne liste de problèmes, c’est un relevé d’observations, pas un brainstorming de marque.

Action : Donnez à votre IA un fichier brut de verbatims clients et faites-lui extraire les phrases récurrentes.

Prompt conseillé : « À partir de ces verbatims, liste les problèmes réels, en gardant les mots exacts utilisés »

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