Vous avez bien formulé les problèmes. Mais vous n’avez pas dit ce qu’il cherche, derrière. Chaque douleur cache un besoin, un appel, un espoir. Et s’il reste muet, il manque quelque chose. Nommer le besoin, c’est tendre la main sans vendre. C’est ouvrir une suite possible. Et parfois, ce simple mot change tout.
Action : Ajoutez après chaque problème une ligne qui commence par : “Ce qu’il voudrait vraiment, c’est…”
Laisser un CommentairePrompt conseillé : « Pour chaque problème, ajoute la formulation du besoin profond et personnel qu’il révèle »